Un correspondant déprimé m’envoie ces vers sidérés, pourtant il réside au village d’Allègres, en Haute Loire (mais dont le château s’appelle « La Potence », NDLR):
« Censure, censure, censure, sang sur les mains, sang sur les murs,
La colère est si forte, il nous faut la rupture, rupture, rupture, rupture,
Bloquons, brûlons, cassons, la situation est mûre,
A mort la démocratie et vive l’ochlocratie! »
Un conseil, reprenez vous, mon vieux et respirez à fond, ce n’est pas si grave (enfin, j’espère).