Quatrième de couverture

Depuis la Révolution et la chute des Vichy durs, on vit bien à Paris, mais à quoi bon?
Il reste à peine un milliard d’êtres humains. Les autres ont été mangés.

L’infinipet ne digère pas le fait qu’après avoir menacé son ­existence, l’ancienne espèce d’élevage dérivée du singe prétend maintenant percer le secret de la Langue.
C’en est trop, il faut éradiquer cette engeance.
L’angoisse de Jules, le « Gagarine de l’espace intérieur », est à son comble. Il est partagé entre le luxe de sa vie quotidienne et la perspective de la fin de l’homme.
Combien de temps encore la Piscine, l’Arche et la Coupole ­résisteront-ils ?
En même temps, son foyer temporaire qui était jusque-là ­équilibré, heureux, connaît des métamorphoses et il a l’impression que sa propre Trajicom dérape.
Quant aux élèctres, c’est un comble, ils se mettent à déjanter les uns après les autres, Moua le premier.
Peu importe d’ailleurs ces cas individuels.
Les dés sont jetés, l’humanité est condamnée.
Il reste si peu de temps, tout semble perdu, mais si Lennon arrive à convaincre l’infinipet ?
Il faudra aussi vaincre l’Autre, qui peut tout faire échouer.

Quand Houatfeu meure, tout rentre dans l’ordre et les lumières s’éteignent. Le siècle des illuminations peut commencer.

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